Formez-vous à la Conception lumière en France
Formation continue Conception lumière en France sur quatre jours.
Conception lumière en France
Module A : Sensibilisation à la lumière et à l’éclairage (1 jour)
Pour être réceptif à la chaîne de la lumière, la partie théorique est abordée en matinée à travers :
- l’impact de l’éclairage sur les matériaux et l’individu,
- l’histoire de la lumière à travers les âges,
- le mécanisme de la vision aujourd’hui.
Elle se double d’une partie pratique l’après-midi sous forme d’atelier dans une boite noire où sont présentés :
- les sources lumineuses,
- la colorimétrie,
- la photométrie en éclairage.
La journée se termine par l’analyse d’un projet lumière remarquable du formateur ACE : Association des Concepteurs Lumière et Éclairagistes.
Module B1 ou B2 : Projet de mise en lumière durable (3 jours en 2 sessions)
Concevoir un projet de mise en lumière durable n’est pas chose facile. Cependant, la méthodologie du projet d’éclairage est similaire en Urbanisme comme en Architecture.
En conséquence, ces deux modules sont conçus en douze étapes, sur une même trame conceptuelle :
- Analyse du site et des contraintes environnementales
- Besoins et objectifs de la lumière
- Choix conceptuels et esquisses lumière
- Eco-conception et développement durable
- Découverte de mises en lumière à Nantes la nuit
- Aspects juridiques, financiers, chiffrage et assurances
- Matériels et typologie d’éclairage
- Enjeux du coût global du projet
- Avant-projet de mise en lumière
- Outils de communication en éclairage
- Références et pratiques de concepteurs lumière
- Présentation individuelle des projets devant un jury
Dates de la formation
Selon votre champ d’activité, deux sessions s’offre à vous :
- A : Sensibilisation à la lumière et à l’éclairage
3 ou 8 octobre 2012 (1 jour)
suivi de
Projet de mise en lumière durable
- B1 : Espace public et paysage – pour appréhender l’éclairage urbain comme une mise en usage de la ville et des lieux qu’elle porte.
4, 5, 25 et 26 octobre 2012 (2 sessions de 1,5 jours)
ou
- B2 : Architectures, contemporaine et patrimoniale – pour construire l’image lumière d’une architecture, sur plan ou construite, en harmonie ou en opposition avec son aspect diurne.
9, 10, 29 et 30 octobre 2012 (2 sessions de 1,5 jours)
Serez-vous saisir cette chance pour vous différencier dans votre pratique ?
Inscrivez-vous vite !
Lieu
École nationale supérieure d’architecture de Nantes, 6 Quai François Mitterrand, Nantes, France
Public
Toute personne intervenant ou devant intervenir dans la prescription de l’éclairage : architectes, paysagistes, scénographes, concepteurs lumière, éclairagistes, ingénieurs, décisionnaires et gestionnaires.
Production
Pôle Atlantique de formation continue (URCAUE & Ensa Nantes) en partenariat avec l’Association des Concepteurs lumière et Éclairagistes (ACE) et l’école nationale supérieure d’architecture de Nantes (ensa Nantes) Département Scénographie, Laboratoire Groupe d’Étude et de Recherche Scénologique en Architecture (GERSA)
Informations
- Contact administratif : Emmanuelle Rangé 02 41 22 99 91
- Contact pédagogique : Céline Drozd 02 40 16 01 21
- Programme et inscription : Pôle Atlantique
C’est super et c’est parti ! Je vous souhaite beaucoup de participants et encore beaucoup de modules !
bonjour
Je trouve cette présentation plutôt réussie et engageante. Juste un commentaire:
concernant : Architectures, contemporaine et patrimoniale – pour construire l’image lumière d’une architecture, sur plan ou construite, en harmonie ou en opposition avec son aspect diurne.
la dualité: en harmonie / en opposition , d’une part et
le terme aspect diurne d’autre part ne me semblent pas vraiment appropriés.
Personnelement, en tant qu’intervenant, je me vois mal expliquer comment s' »opposer » à un réalité diurne. De plus, il peut se concevoir une image nocturne harmonieusement en décalage avec une expression architecturale. L’expression diurne est issue d’un éclairage solaire du haut. Si j’éclaire par le bas, je suis déjà en opposition avec un aspect diurne.
En conséquence, je dirais plutôt « …en harmonie ou en décalage avec son expression architecturale », ou qq chose comme cela.
Désolé d’intervenir un peu tard
cordialement
Marc Dumas
Merci pour vos commentaires sur la fin de la phrase « en harmonie ou en opposition avec son aspect diurne. »
C’est une référence indirecte au directeur de la photographie Henri Alekan.
Il définit la notion de lumière solaire et anti-solaire dans son ouvrage « Des ombres et des lumières. »
C’est-a-dire l’origine de la lumière par rapport à la ligne d’horizon; ce que fait aussi souvent un architecte.
Bonjour à vous deux; vos commentaires sont trés intéressants. De fait, grâce à eux je viens de reprendre l’ouvrage d’Alekan. Merci, ce livre est une source de connaissance inépuisable.
Je suis d’accord avec Marc sur la difficulté de construire un éclairage qui puisse produire une image en harmonie ou en opposition avec la lumière diurne. En même temps, l’exercise proposé par le cours, sur la base des concepts Solaire/Antisolaire est trés valable comme expérience éducative.
Dans notre travail, nous pouvons produire des images évocant la lumière solaire ou lunaire, mais en même temps nous pouvons aussi produire un autre type de lumière, nettement artificielle sans aucun rapport avec la nature mais plutôt avec le bâtiment comme support; soit en intégrant des éléments architecturaux, soit en produisant quelque chose de nouveau sans rapport avec le support choici.
Vincent, félicitations pour tes efforts avec le Light Zoom Lumière
À bientôt
Duilio
Super point de vue et bonne synthèse Duilio !
Quel est votre avis par rapport à la question que pose Didier en bas de ce billet?
https://www.lightzoomlumiere.fr/article/80-participants-premiere-conference-lumiere-ensa-nantes/
C’est sujet du DIF (Droit Individuel à la Formation en France) et le temps passé à suivre des conférences.