Éclairage dynamique
En éclairage dynamique, les sources lumineuses utilisées sont à base de :
- tubes et lampes fluorescentes,
- lampes halogène,
- diodes électroluminescentes à fort flux – LED,
- lampes flash.
Tour Eiffel, Paris, France – Scintillement en mouvement – Conception lumière : Pierre Bideau, SNTE – Photo : Catherine Orsenne
Le pilotage et la programmation de la lumière s’effectuent selon différents protocoles de commande :
- DMX
- DALI
- Ethernet
- 1-10V
Les appareils à éclairage dynamique sont conçus autour de la synthèse additive de trois couleurs :
- rouge,
- vert,
- bleu,
parfois aussi l’ajout de :
- blanc,
- ambre.
Il existe aussi des produits avec des LED blanc chaud et blanc froid pour l’éclairage muséographique ou les commerces, et jusqu’à sept couleurs de LED en éclairage scénique.
Comme dans un spectacle, des scénarios d’éclairage sont programmés par des spécialistes du pilotage lumière.
Ils fixent ainsi les niveaux d’allumage, les temps de montée et d’extinction de la lumière de chaque effet.
En théorie, l’éclairage dynamique permet d’obtenir des millions de couleurs mais le concepteur lumière préfère faire un choix raisonné de teinte en fonction du contexte et des temporalités du projet.
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Photo en tête du billet : Tubular twilight, Genève, Suisse – Conception lumière : François Gschwind, Atelier du crépuscule – Photo : Michel Djaoui
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