Interview

Lumières Utiles célèbre ses 20 ans

20 ans de Lumières Utiles ! Entretien avec son directeur-fondateur François Guillet. Des solutions intelligentes pour la gestion d’éclairage.

20 ans de l’enseigne Lumières Utiles ! Son expertise : la gestion d’éclairage architectural et fonctionnel. Son fondateur François Guillet s’est auparavant spécialisé dans l’éclairage évènementiel chez MES, un prestataire technique du spectacle bien connu à Nantes. D’abord électrotechnicien, il a ensuite été chef électricien, chef de chantier et pupitreur. Ne se reconnaissant pas dans le statut d’intermittent du spectacle il décide, en 2003 de s’installer en indépendant sous le nom de Lumière Utiles. Peu à peu, il élargit ses horizons professionnels avec des centres de formation et des fabricants de matériel notamment Philips et Martin. Ces partenariats l’introduisent dans l’univers de l’éclairage architectural. Au fil du temps, il agrandit son réseau professionnel et, en 2008, il transforme son statut en SARL.

Aujourd’hui, la société Lumières Utiles compte 12 employés et génère un chiffre d’affaires de près de 1,7 million d’euros. Elle vient d’aménager dans de nouveaux bureaux à côté de la gare de Châteaubriant en Loire-Atlantique et fête dignement l’événement autour de journées portes ouvertes durant deux jours. Rencontre avec l’entrepreneur de l’intelligence lumière en France.

Quels éléments déclencheurs ont fondé Lumières Utiles ?

François Guillet : Lumières Utiles a été fondée au moment où les LED sont devenues la technologie dominante dans le secteur de l’éclairage. Juste avant que je crée l’entreprise, il y a eu l’acquisition de Color Kinetics (dépositaire du brevet du mélange RVB en LED) par Philips Lighting en 2007. À cette époque, la trichromie RVB commençait à peine à gagner du terrain.

Comment a évolué la mission de l’entreprise jusqu’à aujourd’hui ?

François Guillet : Initialement, notre mission était de collaborer avec des concepteurs lumière pour programmer des installations d’éclairage. Ils se chargent parfaitement du design, mais souvent sans les compétences en programmation.

Avec le temps, l’entreprise a étendu ses services à la gestion complète des réseaux de pilotage et la fourniture des systèmes de commande. Nous mettons vraiment l’accent sur le suivi de chantier avec plus de 175 sites pilotés à distance en France mais aussi en Belgique, en Italie aux Etats Unis ou au Japon. Ainsi, nous avons renforcé notre rôle clé dans  les projets d’éclairage intelligents.

Exposition journées portes ouvertes des 20 ans – Nouveaux bureaux de Châteaubriant, Loire-Atlantique, France © Lumières Utiles

Quel est le positionnement de Lumières Utiles dans l’éclairage ?

François Guillet : Notre rôle dans l’écosystème de l’éclairage se concentre exclusivement sur la gestion de l’éclairage, sans intervention dans l’installation physique ou la vente de matériel. Nous laissons les installateurs s’occuper de la pose et du câblage des appareils, tandis que la prescription est de la responsabilité des concepteurs lumière. Nous ne vendons pas de matériel d’éclairage, sauf dans des cas exceptionnels, comme des projecteurs de gobo par exemple. Cette tâche revient généralement aux importateurs ou distributeurs. Notre expertise s’applique dans divers domaines tels que l’éclairage architectural, patrimonial et fonctionnel. Nous nous concentrons particulièrement sur des projets qui allient fonctionnalité et esthétique, comme la muséographie. En résumé, notre mission est de répondre précisément aux demandes de nos clients en matière de gestion d’éclairage.

Quelle est l’éthique entrepreneuriale de ton métier ?

François Guillet : Mon éthique professionnelle est de respecter la place du pilotage dans l’écosystème de la lumière, sans s’éparpiller dans d’autres domaines. En effet, nous sommes régulièrement sollicités pour vendre du matériel d’éclairage, une activité lucrative encouragée par plusieurs fabricants. Cependant, vendre des équipements nécessite un engagement continu. Ce n’est pas un acte isolé. Personnellement, je préfère éviter d’entrer dans cet usage pour ne pas créer de conflits avec les fournisseurs existants, et ainsi rester concentré sur notre cœur de métier.

Pourquoi la société s’appelle-t-elle Lumières Utiles ?

François Guillet : Comme on dit, « il faut rendre à César ce qui appartient à César » ! C’est Jean-Louis Pernette, qui était Monsieur Avab en France, qui a trouvé ce nom. À l’époque, je travaillais avec lui sur des formations. Il me disait : « Tiens, tu cherches un nom nantais. Lumières Utiles, ça irait bien parce que piloter de l’éclairage, c’est rendre un service. Donc, c’est utile. Comme les initiales de LU. » Le biscuit nantais par excellence !

Enseigne © Lumières Utiles

Quels sont les protocoles de pilotage de l’éclairage ?

François Guillet : Dans le domaine des protocoles de communication pour les installations électriques en éclairage, deux grandes familles se distinguent :

  • les protocoles bus, incluant le DMX et le DALI,
  • les protocoles réseau, basés sur IP, comme l’Art-Net et le sACN.

Pour les protocoles bus, le DMX est apprécié pour sa rapidité, mais il peut s’avérer complexe pour les installateurs habitués aux câblages en 50 mm2 !

Le DALI, quant à lui, est plus lent. Il offre une robustesse et une finesse accrues, notamment grâce à une meilleure capacité de retour d’information.

Ces deux protocoles tendent à se combiner de plus en plus fréquemment dans les installations modernes.

Comment les modes des protocoles réseau opèrent-ils ?

François Guillet : Les protocoles réseau jouent un rôle crucial dans la gestion des transmissions de données dans divers environnements, y compris les installations lumineuses contrôlées numériquement.

Parmi ces protocoles, l’Art-Net et le sACN sont largement utilisés, avec des variantes spécifiques développées pour des marques. Exemple, le KiNET de Color Kinetics.

Ces systèmes peuvent opérer en mode :

  • broadcast, envoyant des informations de manière globale,
  • unicast, qui cible spécifiquement les récepteurs, optimisant ainsi l’efficacité du réseau en évitant la saturation.

L’unicast est particulièrement avantageux pour des projets de grande envergure, comme l’illumination d’une ville entière, la gestion de médias façades ou l’utilisation de la fibre optique.

En pratique, on tend à positionner les convertisseurs DMX aussi près que possible des projecteurs pour fiabiliser le système.

La conversion du protocole réseau en protocole bus est également une technique courante pour assurer une distribution efficace et précise des informations. Cette approche stratégique dans la gestion des protocoles réseau permet une flexibilité et une précision accrues dans des applications exigeantes.

Que faut-il éviter pour la gestion d’éclairage en réseau ?

François Guillet : Par exemple, il est déconseillé de convertir un réseau en DMX, puis en DALI. En effet, le DALI n’est pas naturellement dérivé du DMX et il peut ne pas fonctionner correctement, d’autant plus que leurs vitesses sont différentes. Il est préférable d’exploiter les mémoires intégrées aux luminaires pour éviter les complications. On trouve malheureusement quand même des bricoleurs qui font n’importe quoi. Par exemple, des installations improvisées uniquement en conversion DMX !

Qu’est-ce que la plateforme Olympe ?

François Guillet : Olympe est une plateforme cloud innovante conçue pour simplifier la gestion des installations d’éclairage, sans nécessiter de compétences en programmation. Elle offre aux utilisateurs finaux un outil intuitif comprenant un système d’horloge et de calendrier. Via une interface Web, il est alors possible de gérer les états lumineux créés par le concepteur lumière. La plateforme se distingue par sa facilité d’utilisation. Elle rend accessible à tous, y compris aux agents municipaux non spécialisés, le déclenchement de programmes lumineux via une simple page Internet. De plus, Olympe assure une surveillance efficace en notifiant les utilisateurs d’éventuels dysfonctionnements par courriel ou SMS, améliorant ainsi la maintenance.

Olympe, cloud de gestion des installations éclairage en temps réel et sécurisé © Lumières Utiles

En optimisant la gestion énergétique, Olympe supporte également des contrôleurs d’éclairage non alimentés en permanence  qui activent les changements programmés dès leur connexion. Ce système cloud représente une solution robuste et flexible pour la gestion moderne de l’éclairage public et privé. Elle permet désormais aux gestionnaires municipaux de contrôler diverses infrastructures urbaines en temps réel, depuis une interface Web.

En temps réel ! Un exemple d’utilisation par la ville de Cannes ?

François Guillet : Un exemple frappant de cette technologie Olympe s’est produit lors de la Saint-Patrick à Cannes. Le maire a fait passer tous les éclairages architecturaux de sa ville en vert instantanément. Le tout en un seul clic depuis son smartphone, du quartier du Suquet jusqu’à la Croisette. Cette capacité à piloter instantanément des services essentiels ou des fonctionnalités améliore considérablement l’efficacité et la réactivité des opérations municipales. C’est aussi le cas d’autres villes comme Lille ou Tours, où notre plateforme est installée, mais aussi pour plusieurs châteaux de la Loire.

Qu’en est-il du pilotage d’éclairage intérieur récent ?

François Guillet : La nouvelle gare du RER A à Nanterre, baptisée Eole, a récemment été inaugurée. Ce projet innovant inclut une collaboration avec BOA Light Studio, qui pilote l’installation de dizaines de milliers de points lumineux fournis par Martin.

Gare de Nanterre la Folie, projet Eole, RER A – Sncf Reseau – Architectes Marc Mimram, Explorations Architecture – Plasticien lumière BOA, Yann Kersalé – Pilotage Lumières Utiles © Oscar Delgado

C’est le résultat d’années de collaboration étroite et de planification minutieuse. Une attention particulière a été accordée au choix des emplacements des drivers et au réseau de pilotage lumineux. Le nouveau système de gestion et de contrôle de l’éclairage que Lumières Utiles a conseillé a été mis en œuvre avec succès.

Dans le grand auditorium du Palais des Congrès à Paris, l’infrastructure de pilotage lumineux a été entièrement renouvelée par Lyum et Anolis avec un système Pharos de 10 univers DMX.

Palais des Congrès de Paris, grand amphithéâtre, éclairage intérieur LED multicolore depuis la scène – Concepteur lumière, maître d’œuvre : Lyum – Luminaires encastrés : Anolis – Pilotage : Lumières Utiles © La Chouette Photo, Olivier Hannauer

Cette initiative a renforcé la relation de travail avec le Palais des Congrès, suggérant une collaboration continue et fructueuse dans le futur.

Nous avons aussi travaillé avec Ombrages sur le restaurant rosalies à Disney Village, un mélange de DALI tuneable white piloté en Dynalite et DMX en Pharos.

Et l’éclairage extérieur du village olympique des athlètes ?

François Guillet : Concernant le village olympique des athlètes pour Paris 2024, à cheval sur Saint-Denis et Saint-Ouen, Concepto a proposé un éclairage des rues avec une variation de puissance et de teinte du tuneable white, blanc chaud, blanc froid. Lumières Utiles pilote ainsi, en DALI, l’ensemble du système avec un mix Pharos et Dynalite et les luminaires Chrysalis de tout le street lighting du quartier.

Place olympique, village des athlètes, rampe hélicoïdale – Solideo – Paysagiste : Agence TER – Concepteur lumière : Concepto -Éclairage dynamique et pilotage DMX © Lumières Utiles

Il y a aussi le pilotage de la rampe hélicoïdale en éclairage dynamique architectural de plus de 900 points lumineux DMX point par point en Pharos. De petits luminaires intégrés par LED Puck varient en teintes rouges, ambre, 2 200 K et 3 000 K, telle une fête des flambeaux pendant la Grèce antique. Je tiens à souligner l’originalité et la qualité du projet de Concepto ainsi que la qualité de la réalisation de Satelec avec un travail de folie pour tirer presque 1000 paires de câbles hyper fins dans les garde-corps !

Comment la gestion de l’éclairage fonctionnel dans les projets se fait-elle ?

François Guillet : Dans le domaine de la conception lumière en éclairage fonctionnel, l’accent est désormais mis sur la responsabilité environnementale et sur le bien être des personnes : salariés, visiteurs, sportifs….. Il est devenu fondamental de produire un éclairage à la fois juste et frugal grâce à des mécanismes tels que la régulation automatique par apport de la lumière naturelle et des systèmes de détection de présence. L’objectif est d’éclairer uniquement lorsque c’est nécessaire, au niveau adéquat et en respectant le cycle circadien. L’utilisation de la technologie DALI, en particulier pour les projets d’envergure, facilite la remontée d’informations vers les systèmes de contrôle, optimisant ainsi la gestion de l’éclairage.

Les interfaces utilisateurs jouent également un rôle clé, évoluant des simples boutons-poussoirs à des écrans tactiles avancés ou des systèmes de réseau globaux, permettant une gestion plus intuitive et efficace.

Un exemple récent est la Cité internationale de la langue française à Villers-Cotterêts, chantier de l’agence 8′18″. Elle se concentre principalement sur la gestion de l’éclairage muséographique, fonctionnel, décoratif en intérieur en DALI, ainsi qu’en extérieur sur les façades et jardins, toujours en DALI. Ainsi, la liaison avec la lumière naturelle, la différenciation jour/nuit, , la détection de présence et la programmation de scénarios lumineux en fonction du parcours scénographique font partie de cette approche. Une belle alliance de l’utilité et de la muséographie !

Comment le décret BACS dans le tertiaire favorise-t-il le pilotage de l’éclairage ?

François Guillet : Malgré le respect des cahiers des charges lors des constructions du décret BACS, les gestionnaires, confrontés à des plaintes des utilisateurs (des bureaux notamment) concernant le réglage de l’éclairage, choisissent de simplifier la gestion. Ils laissent les lumières constamment allumées ! L’utilisation excessive de l’éclairage de bureau, souvent maintenu à son maximum 24 h/24, est un problème persistant dans les bâtiments, ce que l’on constate facilement par exemple à La Défense à Paris.

Ce manque de suivi après la réalisation des bâtiments conduit à une surconsommation énergétique. Elle est négligée car jusqu’ici elle n’impactait que peu le coût final en électricité pour les gestionnaires. La situation actuelle révèle donc un besoin criant de contrôles postconstruction plus rigoureux pour assurer un usage durable de l’éclairage dans les bâtiments tertiaires.

Qu’en est-il de l’éclairage fonctionnel au regard du pilotage ?

François Guillet : Les systèmes de gestion de l’éclairage fonctionnel sont désormais souvent intégrés directement dans les luminaires, réduisant le besoin d’interventions extérieures. Cependant, les fabricants sollicitent de plus en plus les services après-vente pour résoudre des problèmes de configuration. Par ailleurs, la législation actuelle, notamment le décret BACS, impose désormais non seulement la régulation, mais aussi le reporting des données pour analyse et quantification. Un domaine sur lequel nous travaillons beaucoup en ce moment.

Selon les tendances observées chez, Dynalite une filiale de Signify (nouveau nom de Philips Lighting), l’éclairage fonctionnel gagne en sophistication et en intégration. Nous travaillons beaucoup pour le secteur tertiaire, les usines, les chantiers de construction, ainsi que les installations sportives et pour l’enseignement dans les auditoriums ou les salles de classe. Ce sont les principaux bénéficiaires de ces évolutions.

Quels impacts ont ces nouvelles réglementations ?

François Guillet : Prenons l’exemple des nouvelles réglementations gouvernementales concernant l’isolation des bâtiments ou l’installation de panneaux solaires. Leur adoption semble coïncider avec une multiplication rapide d’entreprises spécialisées dans ces secteurs. Toutefois, cette croissance rapide soulève des inquiétudes quant à la qualité et l’efficacité des services fournis. De plus, l’afflux de matériel bon marché provenant de l’Est de l’Asie pose des questions sur la durabilité et l’efficacité énergétique, et plus particulièrement sur les systèmes d’éclairage qui sont souvent allumés en permanence. Pour encadrer ce secteur en plein essor, cette situation appelle à une vigilance accrue et potentiellement à de nouvelles normes.

Équipe Lumières Utiles, journées portes ouvertes des 20 ans – Nouveaux bureaux de Châteaubriant, Loire-Atlantique, France © Lumières Utiles

Où sont tes nouveaux bureaux de Lumières Utiles ?

François Guillet : Au cœur d’un triangle formé par Nantes, Angers et Rennes, nous sommes à Châteaubriant. La ville affiche un dynamisme industriel et entrepreneurial notable. En tant que chef d’entreprise, je bénéficie d’un environnement très favorable. Je me sens vraiment soutenu par la communauté de communes de Châteaubriant, la chambre de commerce de Loire-Atlantique et l’ADIC, l’Association de chefs d’entreprise du territoire Chateaubriant Nozay.

Pourquoi avoir déménagé près de la gare de Châteaubriant ?

François Guillet : Auparavant, nous étions basés à 15 km de là. Nous avons déménagé pour des locaux plus adaptés, à 400 mètres de la gare de Châteaubriant. Aujourd’hui certains alternants communiquent clairement sur leur volonté de ne pas avoir de voitures. Ce choix stratégique facilite désormais les échanges et l’accès aux transports en commun. C’est essentiel pour attirer de jeunes talents en alternance.

Quel était le prétexte à ces journées portes ouvertes ?

François Guillet : L’événement marquait le 20e anniversaire de notre entreprise, mais aussi l’inauguration de nos nouveaux bureaux. Il a réuni notre écosystème dans un cadre festif et professionnel unique.

Concert, journées portes ouvertes – Nouveaux bureaux de Châteaubriant, Loire-Atlantique, France © Lumières Utiles

Comment était-il organisé sur deux jours ?

François Guillet : Organisé sous la forme d’un salon du 24 au 25 avril 2024 dans tous nos locaux, cet événement a permis à nos fournisseurs et partenaires de présenter leurs produits. Citons quelques marques reconnues telles qu’Anolis avec la présence de son PDG, Bruno Garros, mais aussi Lumenscia qui représente Lumenpulse, Chauvet, Algam Enterprise, qui a présenté Martin et Barco, RVE, Epic, CAE ainsi que SDI enseigne, entreprise de Chateaubriant qui détient un brevet d’impression lumineuse en électroluminescence qui a particulièrement intéressé les concepteurs lumière présents lors de ces deux jours.

Notre salle de réunion a accueilli des conférences techniques ou culturelles :

  • colorimétrie par Bruno François,
  • Lumen Talk par Samuel Charrier,
  • histoire et projets de Pharos par la team Londonienne,
  • media façade par Patrice Esmelin d’Algam,
  • projection de gobo par Philippe Mussard d’Epic,
  • une réflexion sociale aussi bienvenue que déjantée par Christophe Canadell.
Conférence Christophe Canadell, journées portes ouvertes des 20 ans – Nouveaux bureaux de Châteaubriant, Loire-Atlantique, France © Lumières Utiles

Toutes ces interventions nous a permis de rythmer les journées de manière conviviale et instructive.

Nous étions aussi ravis de voir des participants venus de divers horizons, y compris un déplacement notable depuis la Pologne de l’équipe PXM et la visite de Simon Hicks, Mark De Gruyter et Michael Crilly respectivement PDG, responsable de ventes et directeur du développement de Pharos depuis la Grande-Bretagne pour une semaine.

Conférence Pharos, journées portes ouvertes des 20 ans – Nouveaux bureaux de Châteaubriant, Loire-Atlantique, France © Lumières Utiles

Qui étaient les participants à cet événement ?

François Guillet : Notre événement incluait des revendeurs de matériel, des partenaires, ainsi que des installateurs, des représentants de collectivités et des concepteurs lumière. Ces journées portes ouvertes ont réuni plus d’une centaine de personnes le mercredi en soirée.

Quels retours d’expérience de ces journées portes ouvertes ?

François Guillet : Ce rassemblement a non seulement renforcé nos relations existantes, mais a aussi pavé la voie à de nouvelles opportunités collaboratives. Un grand merci à Liza Beauchêne, en alternance chez nous, pour son implication exceptionnelle dans l’organisation de cet événement réussi.

Un dernier mot sur ce premier événement Lumières Utiles ?

François Guillet : L’événement a été un vrai succès, marqué par une ambiance extraordinaire et une excellente humeur générale. Nous tenons à remercier chaleureusement tous les participants, en particulier ceux qui ont fait le déplacement de loin.

Reportage sponsorisé par Lumières Utiles.

Lieu

  • Lumières Utiles
  • Châteaubriant, France

Équipe du projet

Système de contrôle Lumières Utiles Olympe
Directeur François Guillet
Plasticien lumière Yann Kersalé
Concepteur lumière BOA Light Studio Lyum (ex Neo Light) Concepto 8'18" Éclairage Public / Ombrages Noctabene
Partenaires Anolis Lighting Lumenscia Chauvet Algam Entreprise Martin Barco RVE Électronique Epic CAE SDI enseigne Pharos PXM
Conférencier Bruno François Samuel Charrier Simon Hicks Mark De Gruyter Michael Crilly Patrice Esmelin Philippe Mussard Christophe Canadell
Organisateur d'événement Liza Beauchêne Lumières Utiles

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Rédacteur en chef et éditeur du portail Light ZOOM Lumière depuis 2012. Architecte diplômé de l’École nationale supérieure d’architecture de Nantes. Éclairagiste par passion depuis 1997 en Europe. Auteur de sept ouvrages de référence sur la lumière, l'éclairage, la ville et le bâtiment. Enseignant en éclairage à l’ENSA Nantes et à l’ENSATT Lyon.
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