Lumières n°50 : célébration de la revue 3e Médias
À tout anniversaire son lot de changements. Le nouveau directeur de la publication de 3e Médias, David Catelain, arrivé il y a six mois, va de l’avant. Pour la première fois, le groupe de presse organisait un évènement d’entreprise spécifique pour la filière éclairage. Mais c’était surtout l’occasion du lancement du numéro 50 de la revue Lumières, et aussi pour faire part de quelques ajustements réussis de la maquette graphique. Les fabricants annonceurs de la revue, des concepteurs lumière de l’ACE, et quelques attachés de presse de cette édition étaient conviés par Isabelle Arnaud et Sandrine de Montmorillon. Objectifs : partager un verre de l’amitié et échanger sur la profession. Le tout était suivi d’un buffet très sympathique à Paris.
Mais alors, la revue Lumières, c’est quoi ?
C’est tout d’abord une plume, passionnée et curieuse, celle d’Isabelle Arnaud, journaliste et rédactrice en chef depuis le numéro 6 de mars 2014, paru en français-anglais pour le salon Light+Building.
En février 2025, elle a fêté ses 40 ans dans l’éclairage. Que l’on soit concepteur lumière, fabricant ou journaliste, la lumière électrique à LED est un métier de passionné, et Isabelle Arnaud est la reine de la presse spécialisée dans ce domaine.
Maquette graphique de Lumières n°50
La maquette de la revue Lumières a été conçue par Planète Graphique Studio. L’agence gère sa mise en page depuis plus plusieurs années. Pour le numéro 50, le support fait toujours 68 pages, soit presque plus du double du premier numéro paru en mars 2012.
Tout d’abord, côté police de caractère, celle des titres est allongée. Elle permet ainsi de mettre en page plus facilement la titraille des articles sur une seule ligne.
Ensuite, côté mise en page, selon un style de magazine haut de gamme, la marge entre les colonnes de texte, de même que le blanc tournant sur les pages d’interviews, permettent d’aérer la mise en page.
Enfin, la taille de chaque image est réduite dans le magazine. Sans doute pour pouvoir en publier plus ? Seules exceptions : les ouvertures de chapitres, avec des pleines pages ou des doubles pages, où une taille impressionnante s’impose.
Mon seul regret, en tant qu’éditeur moi-même : l’épaisseur du papier pourrait être bien plus importante. Elle laisse entrevoir les aplats des images par transparence. À mon goût, cette revue de qualité mériterait mieux.
Nouvelle mise en page du sommaire
Nouveauté de ce numéro 50, la nouvelle mise en page du sommaire. À présent, il se présente sur deux pages en vis-à-vis.
- La partie supérieure, très visuelle, reprend les photos de projets développés dans le magazine.
- La partie inférieure, telle une frise romaine, présente les portraits des principaux interviewés du numéro.
2 formules pour accéder à Lumières
La revue Lumières édite quatre numéros par an, soit un par trimestre. Elle propose deux formules d’abonnement : une édition papier doublée d’une édition numérique, ou un accès en ligne seulement, plus les archives du titre.
- Formule Print & Digital : 75 €
- Formule 100 % Digital : 55 €
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