Rencontres 9 : James Turrell et Almine Rech

Rencontres entre James Turrell et Almine Rech. L’artiste et la galeriste discutent autour de l’art de la lumière.

L’artiste sculpte la lumière comme un matériau tangible. Depuis les années 1960, les projections lumineuses qu’ils conçoit sont des expériences perceptives à part entière.

Cet ouvrage éclaire sur sa démarche, notamment le projet Roden Crater, grâce à un entretien avec sa galeriste parisienne, et un essai d’Ana Torres.

Auteurs

• James Turrell est plasticien lumière né en 1943 à Los Angeles. Il vie et travaille en Arizona.
• Almine Rech est galeriste à Paris dans le 13e arrondissement.
• Ana Maria Torres est docteure en architecture. Elle exerce aux États-Unis et en Espagne.

Extrait du livre

« En 1966 et 1967, lorsqu’il réalise la série des Projection Pieces (en 1966 et 1967, elles sont blanches, la couleur sera introduite dans les Projections en 1968) constituée chacune d’un projecteur quartz halogène préparé de sorte qu’il projette une forme spécifique de lumière dans l’angle de deux murs ou à plat sur un mur, James Turrell pose les bases de son œuvre de manière fulgurante.

Les Projections, sortes d’ovnis dans le monde artistique occidental des années 1960, ne furent comprises et reconnues que par un petit nombre ».

Texte extrait de Rencontres 9 James Turrell / Almine Rech, Almine Rech Éditions, Éditions Images Modernes, 2005. Le regard en suspens, p. 37-144.

J’aime

• L’interview complice l’artiste et sa galeriste.
• Des parallèles photographiques entre des œuvres de l’artiste.
• Une rétrospective de l’artiste et ses installations.
• Le texte en français et anglais sur 176 pages.